Faut-il être cassé pour entendre Dieu ?

En cours d’écriture.
Quelques pensées provisoires, pour ouvrir la question.

Dieu attend-il qu’on plie ou qu’on ploie pour parler ? Faut-il vraiment s’effondrer pour qu’il daigne dire quelque chose ? Ça serait déjà pas mal. Ce billet interroge cette théologie du brisement, souvent romantisée. Une souffrance intérieure transformée, l’humiliation acceptée, la “mise à nu” de l’ego, un passage nécessaire pour entendre Dieu, être purifié… Voir ! Et si Dieu parlait aussi quand on tient debout, sans pathos ni posture d'effondrement ?

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Dieu pourrait-il parler un peu plus fort ?

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Et si j’avais raison contre Dieu ?